Michel Vaïs a écrit:Mon magazine était, bien sûr, vendu en kiosque. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je l'avais fondé.
Évidemment en kiosque pour une publication datant de l'ère pré-internet...
Mais sa publication a cessée pour une raison, moderne?
Michel Vaïs a écrit:Autre fausseté : le magazine bilingue actuel (gN/aN) peut parfaitement être lu hors-ligne, sur tablette, téléphone ou ordinateur.
Mauvais choix de mots de ma part. Le PDF reçu par courriel est téléchargé et peut être lu hors ligne. Disons, hors-technologie, une lecture papier, quoi. Il n'est pas impossible d'imprimer un magazine reçu en PDF, mais ça utilise beaucoup d'encre. Manquerait que l'envoyer par Fax...

Michel Vaïs a écrit:il faudra auparavant que la FCN soit d'accord, car le manque à gagner pourrait mettre en péril la publication du magazine lui-même.
Justement la raison pourquoi je vous ai mentionné plus haut. La différence de 20$ annuellement entre la version papier et la version numérique est quand même importante, laissant croire que ce 20$ est mis à contribution pour payer les frais d'impression, soit 40% du coût de la carte de membre. C'est énorme considérant tous les moyens de communication existants.
Tout comme un entrepreneur qui a besoin de cartes d'affaires, s'il en a besoin que 819, l'imprimeur va sortir 1000 exemplaires et le facturer à prix fixe, donc j'imagine que l'impression de magazine est à un nombre forfaitaire d'exemplaires, aucune idée comment les exemplaires supplémentaires sont écoulés... à l'international? Peu importe.
Au fait, j'ai conservé l'édition que François m'a laissé il y a 2 ans. Hé oui, je l'ai lu. En tout cas, je verrai après la pandémie, la possibilité de devenir membre au prix de 30$ si l'option est offerte. Je m'ennuie d'Okapulco, l'hiver ne fait que commencer...